Fréquemment utilisés dans le secteur industriel, les chariots élévateurs assurent le transport de charges variées aussi bien en usine qu’en entrepôt de stockage. Ces appareils de levage et de manutention sont disponibles à travers un vaste choix d’engins aux caractéristiques très différentes, permettant de réaliser facilement le transport de marchandises mais aussi leur chargement et leur déchargement.
Pour les professionnels, de nombreux critères sont à prendre en considération afin de trouver le type de chariot élévateur convenant le mieux à leur domaine d’activité et à leurs besoins. Selon l’usage qui sera fait des chariots élévateurs, plusieurs éléments se doivent d’être étudiés pour faire le bon choix et trouver les engins les plus adaptés.
Parmi les critères de sélection, des éléments techniques, pratiques et environnementaux entrent en ligne de compte.
Il faudra définir si les chariots seront utilisés pour le chargement ou pour le transport, s’ils seront employés en extérieur ou en intérieur et quelle sera leur durée d’utilisation moyenne au quotidien. Ces différents points permettront de mieux cerner le profil des appareils recherchés.
Le chariot élévateur tout-terrain, rapide et puissant, peut être utilisé aisément sur toutes les surfaces. Le chariot à mât rétractable brille par sa solidité et sa polyvalence. Le gerbeur convient quant à lui pour le transport répété de charges entre une et deux tonnes.
Le préparateur de commande est l’appareil idéal dans le cadre de la manutention, alors que le transpalette trouvera sa place en usine comme en entrepôt.
Le poste de conducteur de chariot élévateur consiste à assurer des opérations de manutention à l’aide d’un appareil mécanique, tant pour le chargement et le déchargement de véhicules que pour le stockage, l’approvisionnement ou encore l’enlèvement de charges.
L’entretien du chariot fait partie de ses prérogatives, tout comme le respect des règles de sécurité et des délais fixés. Ce travail requiert une véritable capacité d’organisation, de la minutie et de l’habileté dans le maniement de l’engin.
Une bonne condition physique est également nécessaire. Un conducteur de chariot est amené à opérer sur divers sites : en entrepôts essentiellement, mais aussi en magasins, sur des quais ou des plateformes logistiques.
Afin de pouvoir exercer, les conducteurs de chariot doivent suivre une formation et obtenir une autorisation de conduite de la part du chef d’entreprise. Un examen d’aptitude médicale assuré par le médecin du travail est indispensable par ailleurs, tout comme un contrôle de connaissances relatif à la conduite, aux normes de sécurité et aux spécificités du site de travail.
Selon le code du travail, il n’est pas nécessaire de posséder un Certificat d’aptitude à la conduite en sécurité (CACES) pour être conducteur.
Etre titulaire de ce diplôme fait cependant partie des recommandations de la CNAM (Caisse nationale de l’assurance maladie).
Les conducteurs de chariot peuvent par la suite connaître des évolutions à différents postes, notamment ceux de préparateur de commandes, agent magasinier et cariste d’entrepôt.
Un engin est composé à la base d'un chariot à roues, d’un moteur à combustion ou électrique, d’un système de transmission, d’un mât, d’un tablier porte-charge, de fourches et d’une cabine abritant le cariste.
Il existe un grand nombre de modèles, chacun présentant des spécificités propres qu’il convient de connaître avant d’effectuer son choix. Il est notamment conseillé de tenir compte de son lieu d’utilisation et du poids des charges manipulées.
Le chariot électrique s’adapte à toutes les exigences tout en étant fiable. Son usage universel est idéal pour la préparation de commandes, le chargement et le déchargement de marchandises, le gerbage et l’approvisionnement de la chaine de production.
Il se distingue par sa capacité de charge élevée et son coût d’utilisation faible tout en assurant une sécurité et un confort maximaux.
Le chariot diesel est destiné aux travaux de manutention en extérieur tout en veillant au confort du cariste. Cet engin fiable est puissant et robuste grâce à la motorisation diesel qui permet de traiter des charges lourdes à hauteur élevée pour une productivité optimale.
Il convient à toutes les opérations de chargement et déchargement de marchandises, ainsi qu’au transport horizontal et au gerbage.
Le chariot à gaz convient à la manutention de charges peu intenses à lourdes en intérieur. Il est équipé d’un moteur thermique qui offre une puissance équivalente au diesel avec une moindre production de gaz polluant.
Cet engin économique supporte des charges à hauteur élevée sans altérer l’environnement du cariste.
Le chariot élévateur GPL est un engin dont le moteur thermique est alimenté au gaz de pétrole liquéfié ou GPL. Il offre les mêmes caractéristiques que le chariot élévateur gaz.
Le chariot télescopique convient aux charges lourdes et à grande hauteur. Cet engin automoteur à portée variable sert à l’approvisionnement en matériaux.
Sa flèche à longue portée en fait le chariot idéal pour les chantiers de construction. Il peut disposer de plusieurs attachements tels que des nacelles et des pelles. Son mât télescopique est constitué de segments et peut atteindre 20 mètres de hauteur.
Le chariot latéral est maniable et a la capacité de déplacer des charges lourdes à côté du conducteur pour une meilleure maniabilité.
Son chargement latéral permet ainsi d’éviter les demi-tours et convient également à la manutention d’objets longs, facilitant le travail du cariste. Néanmoins, la fonction de porte-à-faux limite la charge supportable et le gerbage à un seul côté.
Le chariot à mât rétractable offre les mêmes fonctions que le chariot tout-terrain. Polyvalent, robuste et rapide, il s’adapte à toutes les distances et à un usage intense. Ses fourches sont placées sur un axe mobile, favorisant son utilisation dans les allées étroites. Il convient à la manutention et au gerbage grâce à une levée frontale ou latérale.
Le préparateur de commandes convient à la manutention, le gerbage et l’élévation de marchandises et offre une capacité de charge de 2 tonnes.
Rapide et confortable à l’usage, il est efficace dans l’optimisation matérielle de la gestion de produits, malgré son adaptation limitée aux sols ayant une pente inférieure à 10%.
Le gerbeur est idéal pour accéder aux espaces étroits et un usage intense. Il convient à la manipulation de charges moyennes à faible hauteur et au gerbage. Il permet de superposer des charges aux formes régulières.
Comme le préparateur de commandes, le gerbeur voit son adaptation limitée à un sol à pente inférieure à 10%.
Destiné à la manutention basse et aux espaces étroits, le transpalette convient au déplacement de palettes à hauteur réduite. Il n’est pas adapté au gerbage.
Simple d’utilisation, il peut être manuel, électrique ou semi-électrique et est idéal pour des secteurs tels que le transport ou le commerce. Le transpalette s’adapte aux besoins de son utilisateur et peut avoir des fourches longues ainsi que l’option pesée.
Le chariot élévateur tout-terrain s’adapte à tous les terrains et à toutes les distances. Robuste, rapide et polyvalent, il convient à un usage intérieur et est capable de soulever les charges s’élevant jusqu’à 50 tonnes.
Le chariot multidirectionnel convient aux allées étroites pour un usage intérieur ou extérieur dans les domaines tels que l’industrie, la distribution ou encore la construction connaissant des contraintes de stockage de hauteur et de place.
Sa manœuvre est optimale grâce à sa direction multidirectionnelle, réduisant sa dépense énergétique et son entretien.
Le chariot tracteur est non élévateur et convient au tractage de chariots ou de remorques de manutention.
Il peut être à conducteur à pied, ou bien porté debout ou assis. Il fonctionne à propulsion électrique ou thermique pour une vitesse de déplacement n’excédant pas les 12 km/h.
Le chariot de magasinage assure le transport intérieur et rapide de charges. A niveau fixe et ergonomique, il est utile pour la préparation des commandes. Il convient également au stockage et déstockage des marchandises tout en efficacité.
L’utilisation intérieure ou extérieure d’un engin de manutention détermine le type d’engin et d’énergie à considérer, selon l’environnement de travail.
L’utilisation intérieure requiert l’utilisation de chariots élévateurs électriques.
Quelles que soient les tâches à réaliser (manutention, chargement et déchargement, gerbage, préparation de commandes, etc), un engin électrique présente l’avantage d’émettre moins de polluants dans un environnement fermé, voire contraint.
Il importe de veiller à l’autonomie et à la capacité des batteries utilisées. En outre, la capacité électrique de votre entreprise doit être conséquente afin de charger les batteries sans risques.
Dans le cadre d’une utilisation extérieure, il est préférable d’utiliser un chariot élévateur thermique, plutôt qu’un modèle électrique.
Ce choix est recommandé quelles que soient les tâches effectuées (chargement et déchargement, gerbage, déplacement, etc).
Les engins thermiques sont plus puissants et généralement mieux adaptés aux terrains et aux conditions difficiles. Deux modes de propulsions existent : le diesel et le gaz.
Pour une utilisation mixte, le choix d’un engin électrique ou thermique s’opère selon la prédominance de votre activité. Si votre activité est essentiellement extérieure, vous pouvez opter pour un modèle thermique.
L’engin conviendra à une utilisation occasionnelle en intérieur, à condition que votre entrepôt soit convenablement ventilé (critère établi par un organisme agréé). Si votre activité est essentiellement intérieure, vous pouvez choisir un engin électrique, à condition que l’utilisation extérieure soit limitée et sur des sols de relative qualité.
Si votre activité nécessite les deux utilisations à temps égal, il est préférable d’opter pour deux modèles, chacun adapté à une utilisation propre.
► La capacité nominale correspond à la charge théorique qu’un chariot élévateur peut soulever. Cette capacité maximale d’utilisation est calculée sans équipement et à une hauteur standard de 3,30 mètres. Elle est indiquée sur la plaque signalétique de l’engin.
► La capacité résiduelle correspond à la charge que l'engin peut soulever en toute sécurité. La capacité résiduelle indiquée sur la plaque de charge correspond à la capacité de levage maximale que le chariot peut supporter avec le mât entièrement déployé, en prenant en compte le centre de gravité de la charge.
La charge admissible varie en effet selon divers facteurs :
• la hauteur et la longueur ;
• le centre de gravité de la charge manipulée ;
• les équipements et accessoires.
Pour connaitre la charge résiduelle lorsqu’une charge dépasse la distance du centre de gravité, il convient d’opérer le calcul du centre de gravité et le calcul de la capacité de charge. Le diagramme de charge obtenu permet de connaître les valeurs qui permettent de manipuler l’engin en toute sécurité.
Dans bien des entreprises, le recours aux chariots élévateurs est une nécessité. S’il peut sembler de prime abord constituer une dépense importante, l’achat d’un tel type d’engin s’avère indispensable dans de nombreux cas de figure.
Ces appareils polyvalents, disponibles dans une vaste gamme et à des coûts variés, sont les outils mécaniques les plus performants du marché afin d’assurer le stockage et le transport de charges lourdes, la préparation des commandes mais aussi l’alimentation des lignes de production. Dans le secteur industriel, la manutention de marchandises est un champ d’activité important qui demande rapidité, flexibilité et sécurité.
Selon les modèles choisis, les chariots sont en mesure d’assurer des travaux d’aménagement, d’implantation, de chargement et de déchargement de biens dans des délais serrés. Les chariots élévateurs possèdent plusieurs qualités essentielles dans le monde de l’entreprise et ont des avantages non négligeables à offrir.
Ils permettent tout d’abord d’optimiser les flux de marchandises dans un entrepôt. Sûrs et rapides, ils garantissent en outre une productivité augmentée, et sont les engins les plus adaptés pour le déplacement de toutes les charges imposantes.
Ces appareils de manutention ont le mérite d’être solides et confortables, de respecter les normes de sécurité et d’être conçus pour assurer des cadences importantes et un usage intensif au quotidien. La longévité des chariots élévateurs permet enfin d’amortir leur coût d’achat sur la durée, en faisant des investissements rentables pour toute entreprise.
La conduite d’un engin élévateur comporte certains risques, raison pour laquelle des aptitudes sont nécessaires pour prétendre à un tel poste. Il existe plusieurs types d’habilitations qui permettent d’utiliser un chariot élévateur dans le cadre professionnel.
Le code du travail (articles R. 4323-55, 56 et 57) stipule que seuls les « travailleurs qui ont reçu une formation adéquate » peuvent postuler à cette fonction. La formation est accessible via deux moyens différents : en ayant une autorisation de conduite délivrée en interne par l’employeur, ou en obtenant le CACES.
L’examen permettant d’obtenir l’autorisation de conduite se déroule sur le lieu de travail. Il est indispensable d’être majeur et d’avoir été reconnu médicalement apte par le médecin du travail pour pouvoir passer le test.
Celui-ci comprend un contrôle des connaissances et une évaluation de la maîtrise de l’engin, des règles de sécurité et des caractéristiques du lieu d’utilisation. Le chef d’entreprise délivre ensuite une autorisation de conduite temporaire, correspondant à la durée de la mission.
La seconde option consiste à obtenir le Certificat d’Aptitude à la Conduite En Sécurité. Egalement appelée « certificat cariste », cette habilitation est délivrée suite à un examen réalisé par un organisme formateur reconnu par la Sécurité Sociale et l’INRS. Il est valable au sein de toutes les entreprises et confère une autorisation de conduite d’une durée de cinq ans (le titulaire du CACES devant passer un test d’évaluation à l’issue de cette période).
Pour obtenir avec plus de facilité l’une de ces deux habilitations (autorisation de conduite ou CACES), le CNFPT propose des stages de formation préparatoire. S’étalant sur cinq demi-journées, cette formation, organisée de manière locale, permet à des travailleurs de maîtriser tous les aspects de la conduite d’un chariot de manutention. Elle comprend l’apprentissage des règles de conduite et de sécurité, ainsi que des diverses opérations à réaliser dans l’exercice de son travail.
La première version du chariot élévateur a été mise au point aux Etats-Unis dans les années 1910. Son inventeur est Eugene Clark, un Anglais ayant émigré sur le sol américain. Il fabrique un modèle de chariot élévateur à contrepoids, conçu pour son usage personnel et portant le nom de « Tructractor ». Il se présente en effet sous la forme d’un tracteur possédant un plateau sur lequel charger puis décharger manuellement des marchandises.
Le modèle créé par Clark attire l’attention de nombreuses personnes qui lui passent commande de nouveaux chariots élévateurs possédant les mêmes caractéristiques. Au cours de la décennie suivante, l’appareil se perfectionne au gré des innovations technologiques.
Un autre inventeur, Yale, développe ensuite son propre modèle de chariot électrique dès 1923. Celui-ci possède un long mât ainsi qu’un système de fourche qui lui permet de soulever de lourdes charges. Ce prototype de chariot élévateur reste cependant confidentiel jusque dans les années 1930 où la palette vient remplacer la fourche pour assurer un chargement plus facile. Durant la décennie 1940, les chariots élévateurs se démocratisent et deviennent des engins essentiels dans le secteur de la manutention.
A partir de 1950, ces appareils se modernisent et se diversifient : on voit apparaître alors des chariots plus puissants et plus polyvalents, capables d’être utilisés dans de petits espaces. Depuis cette époque, les chariots élévateurs n’ont eu de cesse de se perfectionner et de se spécialiser, jusqu’à aboutir aux très nombreux modèles disponibles aujourd’hui sur le marché.
Chaque année, le marché mondial des chariots élévateurs voit s’écouler plus d’un million d’engins. Alors que les constructeurs historiques sont américains et européens, les fabricants asiatiques n’ont eu de cesse de gagner des parts de marché au cours de la dernière décennie. Afin d’avoir une idée plus précise des entreprises leaders du secteur, voici une présentation des principales sociétés commercialisant des chariots élévateurs.
Cette filiale du groupe japonais Toyota Industries Corporation est actuellement le numéro 1 mondial dans la vente d’engins de manutention. Avec un chiffre d’affaires dépassant les 4 milliards d’euros, Toyota Material Handling vend chaque année plus de 150 000 chariots à travers le monde. Sa filiale européenne emploie 7550 personnes et livre des chariots de marques BT et Toyota dans une trentaine de pays.
Deuxième groupe d’engins de manutention au monde mais leader sur le marché français, la société franco-allemande Fenwick-Linde revendique un chiffre d’affaires de 3,5 milliards d’euros. L’entreprise fait partie du groupe Kion et conçoit ses appareils dans son usine de Cenon-sur-Vienne. Elle produit 100 modèles de chariots et compte 22 000 collaborateurs dans le monde.
Basée à Hambourg, l’entreprise allemande Jungheinrich est le troisième fabricant de chariots élévateurs au niveau mondial. Fondée en 1953, la société s’est spécialisée dans la conception et la location de chariot élévateur. Ses effectifs s’élèvent à plus de 12 000 employés pour un chiffre d’affaires avoisinant les 2,3 milliards d’euros.
L’entreprise américaine Yale est l’un des plus anciens fabricants de chariots élévateurs au monde. Son fondateur est l’inventeur du chariot électrique à plate-forme en 1920. La société a vendu ses premiers engins en Angleterre dès 1929. Elle a connu le succès en fabriquant pendant longtemps sous sa licence les chariots de marque Fenwick. Rachetée par Nacco dans les années 1980, Yale est aujourd’hui l’une des marques importantes du groupe avec Hyster.
Fondée en 1957 par Marcel et Andrée Braud, la société française Manitou est le spécialiste du chariot élévateur dans l’Hexagone. Grâce à la création du chariot tout-terrain, la société a connu un grand succès dès ses débuts. L’entreprise compte aujourd’hui 3700 employés, 22 filiales réparties partout dans le monde et un chiffre d’affaires en hausse proche de 1,3 milliard d’euros.
La Supply Chain désigne la chaine d’approvisionnement logistique. Dans le domaine industriel, il s’agit de la gestion des flux d’informations, de matières et de matériels, des stocks et des transports de produits. L’objectif est de délivrer le produit attendu selon une maîtrise totale de la qualité et du coût.
Elle représente l’ensemble du réseau de la logistique d’approvisionnement, en termes de ressources, de moyens, de méthodes, d’outils et de techniques, depuis le fournisseur initial jusqu’au client final.
Chaque maillon participe à la chaîne à travers sa spécificité pour mieux anticiper les besoins et s’inclure pleinement dans le processus d’ensemble :
→ Les achats ;
→ La gestion des stocks ;
→ La manutention des produits ;
→ Le stockage ;
→ La distribution ;
→ La livraison ;
La Supply chain étant en constante évolution, elle connaît un développement certain qui entraîne de nombreuses innovations technologiques dans le secteur du transport de marchandises.
⇒ La digitalisation est notamment un enjeu fondamental en termes d’organisation dans le cadre de la Supply Chain. Elle permet d’apporter l’information voulue à un destinataire choisi, et ce tout au long de la chaîne logistique. Il importe d’agir avec efficacité et précision afin que chacun reçoive l’information nécessaire en temps voulu. La collaboration est ainsi totale entre tous les maillons de la chaîne, pour une meilleure performance globale, une gestion efficace et une productivité améliorée.
⇒ Le nouveau projet des véhicules utilitaires légers (VUL) s’inscrit dans le cadre des innovations technologiques et s’articule autour de plusieurs axes, notamment l’étude du transport routier, l’empreinte environnementale et l’estimation d’un niveau souhaitable de régulation. Des propositions et des recommandations seront établies afin d’harmoniser ces types de transport.
⇒ La création et la modernisation des installations terminales embranchées (ITE) ferroviaires ont été récemment approuvées par la Commission européenne.
Les magazines d’actualité spécialisés dans les domaines du transport et de la logistique qui permettent de suivre les innovations du secteur sont :
• Actu Transport Logistique ;
• Supply Chain Magazine SAS ;
• Faq logistique ;
Une grande variété de métiers constitue la chaîne logistique :
⇒ Le chef de projet logistique
⇒ Le Directeur-trice logistique
⇒ L’ingénieur logistique
⇒ L’analyste logistique
⇒ Le consultant-e logistique
⇒ L’opérateur-trice logistique
Ces emplois regroupent plus ou moins les mêmes tâches, selon les secteurs.
La chaîne logistique étant un élément essentiel de nombreux domaines d’activités (administration, agriculture, commerce, santé, transports, vente, etc), de multiples métiers se greffent sur les différents maillons, depuis la fabrication du produit jusqu’à sa livraison au client final.